GETTING STARTED: TAKING CARS AND METAPHORS FOR A SPIN THROUGH HISTORY Etymologically, "metaphor" is a Greek term signifying "transport" or a "carrying from one place to another." In The Practice of Everyday Life , Michel de Certeau notes: In Modern Athens, the vehicles of mass transportation are called metaphorai . To go to work or come home, one takes "a metaphor" – a bus or a train. Stories could also take this noble name: every day, they traverse and organize places; they select and link them together; they make sentences and itineraries out of them. They are spatial trajectories. (Michel de Certeau, The Practice of Everyday Life , trans. Steven F. Rendall. [Berkeley: University of California Press, 2011], 115) Certeau's observation elevates stories to the status of metaphorai, claiming that they are "spatial trajectories" and that narrative structures function as "spatial syntaxes". Shared stories of collective mem
Mais oui", répondit en riant la Duchesse, ravie par cette effet de suffocation. " Que Votre Altesse remarque comme il grandit tout ce qu'il touche. Vous me direz qu'il ne touche justement qu'à ce qui... porte bonheur ! Mais il en fait quelque chose d'immense ; il a le fumier épique ! C'est l'Homère de la vidange ! Il n'a pas assez de majuscules pour écrire le mot de Cambronne." M. Proust, Le Côté de Guermantes , Gallimard, "Folio classique", 2002, p. 483 Cité en note : "M. Émile Zola croit qu'on peut être un grand artiste en fange, comme on est un grand artiste en marbre. Sa spécialité, à lui, c'est la fange. Il croit qu'il peut y avoir très bien un Michel-Ange de la crotte." J. Barbey d'Aurevilly, Le Roman contemporain , Lemerre, 1902, p. 231-232
"Quelles transformations doivent maintenant s'effectuer dans nos manières de penser ! Même les idées élémentaires du temps et de l'espace sont devenues chancelantes. Par les chemins de fer l'espace est anéanti, et il ne nous reste plus que le temps. Si nous avions seulement assez d'argent, pour tuer aussi ce dernier d'une façon convenable ! En trois heures et demie on fait maintenant le voyage d'Orléans ; en autant d'heures celui de Rouen. Que sera-ce quand les lignes vers la Belgique et l'Allemagne seront exécutées et reliées aux chemins de fer de ces contrées ? Je sens déjà l'odeur des tilleuls allemands ; devant ma porte se brisent les vagues de la mer du Nord." Heinrich Heine, Lutèce. Lettres sur la vie politique, artistique et sociales de la France , Paris, Lévy, 1855, p. 327. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k68453t/f345.image
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